s. f.
Monsieur,
J’ai trouvé en Septembre [ . . . ] votre livre intitulé La escena contemporánea dans une grande librairie. Après lecture de cet ouvrage qui m’interessa fort, je le prétai a quelques amis. Partout votre ouvrage retint l’attention. La plupart de mes amis me consèillerent de le traduire en Français. Et c’est au sujet de cette traduction que je vous écrit.
Je crois que l’oeuvre interesserait vivement le public français. Vous plairait-il que votre livre soit traduit? ayer l’obbligeance de me repondre, monsieur, s’il vous plait. J’ai déja fait la traduction de la majeure partie du livre. J’attends votre réponse pour achever ou abandonner le travail. Etant etudiant je dispose de peu de temps. Néanmoins la clarté de votre style me permet de vous traduire très vite. Ma traduction est loin d’être mot a mot. J’ai horreur de ces genres de travaux. Il faut avant tout comprendre le texte, l’idée de l’auteur et après: transcrire en style français et en un style qui ne [ . . . ] pas la traduction pénible.
Je trouverai aisément quelque ami pour une introduction. D’ailleurs ces amis sont suffisament haut placés pourqu’un esprit hérudit: tel le vôtre en entend parler fréquement. Quand a vous je vous demanderai de vous vouloir bien donner la peine d’ecrire une courte préface a l’edition française; et de me communiquer tous les conseils que vous jugerez bien. Je pense que nous nous entendrons en ce qui est de l’impression de l’ouvrage dont je pense pouvoir terminer le traduction vers le 15 Aout.
Dans l’impatiente attente de recevoir votre reponse, recevez monsieur l’asassurance de ma haute considération
Jean Fretet

Lima, Perú, 23 de junio de 1928
Mensajero de la Literatura Extranjera,
Moscú
Queridos camaradas y colegas:
Hemos recibido los números 1 y 2 de sus revista, órgano del Pleno de los escritores revolucionarios proletarios, y reproducimos en nuestra revista Amauta, traducidos al español por el camarada Miguel Adler, el prólogo de Lunacharsky, así como la reseña del Pleno del congreso literario.
Como la censura en el correo nos priva en la actualidad de todo contacto con el exterior, esperamos continuar recibiendo mensajero, para lo cual pueden usar esta dirección:
Ricardina Romero
Avenida Bolívar 332
Lima Perú
Sud america
Con un fraternal saludo comunista para todos los camaradas obreros e intelectuales, ofrecemos incondicionalmente nuestros servicios, deseando que nuestras relaciones no sean interrumpidas.