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Descripción archivística
La Escena Contemporánea Francia
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Carta de Alfonso Reyes, 19/2/1926

París, 19 de febrero de 1926
Alfonso Reyes saluda a su amigo José Carlos Mariátegui, le da las gracias por el amable envío de La Escena Contemporánea, da la más calurosa bienvenida al libro, felicita al autor, y se felicita de recorrer este claro panorama de intereses palpitantes.

Reyes, Alfonso

Carta de Henri Barbusse, 13/5/1926

13 de mayo de 1926
Mon cher José Carlos Mariátegui.
J’ai reçu votre livre La Escena Contemporánea. Combien je suis désolé de ne connaître que mal la belle langue espagnole ––qui est de toutes les langues vivanles celle que j’admire le plus— ce qui m’interdit de lire couramment votre oeuvre. Toutefois je sais assez l’espagnol pour pouvoir comprendre en y apportant suffisamment d’attention, un texte espagnol écrit. C’est ainsi que j’ai eu la joie de pénétrer dans quelques— unesde vos pages, et d’y dècouvrir une belle effusion fraternelle qui m’honore et qui me touche.
Plus que jamais nous occupons de grouper les forces intellectuelles internationales. Et nous cherchons la formule large et humaine que nous permettra de nous appuyer tous les uns sur les autres et de susciter parmi les travailleurs de l’esprit des défenseurs aux grandes idées saines, de l’avenir. Je me mettrai sans dout en rapports avec vous quelque jour pour cela, car je pense que vous représentez dans votre pays les éléments hardis et lucides qu’il faut arriver à rallier en bloc.
Croyez-moi bien cordialement à vous.
Henri Barbusse

Barbusse, Henri

Carta de Francisco García Calderón, 10/7/1926

París, 10 de julio de 1926
Francisco García Calderón agradece a U. el atento envío de su libro La Escena Contemporánea. Aprecia mucho la firmeza de su talento, su erudición y la elegancia de exposición.

García Calderón, Francisco

Carta de Jean Fretet, 9/1928

s. f.
Monsieur,
J’ai trouvé en Septembre [ . . . ] votre livre intitulé La escena contemporánea dans une grande librairie. Après lecture de cet ouvrage qui m’interessa fort, je le prétai a quelques amis. Partout votre ouvrage retint l’attention. La plupart de mes amis me consèillerent de le traduire en Français. Et c’est au sujet de cette traduction que je vous écrit.
Je crois que l’oeuvre interesserait vivement le public français. Vous plairait-il que votre livre soit traduit? ayer l’obbligeance de me repondre, monsieur, s’il vous plait. J’ai déja fait la traduction de la majeure partie du livre. J’attends votre réponse pour achever ou abandonner le travail. Etant etudiant je dispose de peu de temps. Néanmoins la clarté de votre style me permet de vous traduire très vite. Ma traduction est loin d’être mot a mot. J’ai horreur de ces genres de travaux. Il faut avant tout comprendre le texte, l’idée de l’auteur et après: transcrire en style français et en un style qui ne [ . . . ] pas la traduction pénible.
Je trouverai aisément quelque ami pour une introduction. D’ailleurs ces amis sont suffisament haut placés pourqu’un esprit hérudit: tel le vôtre en entend parler fréquement. Quand a vous je vous demanderai de vous vouloir bien donner la peine d’ecrire une courte préface a l’edition française; et de me communiquer tous les conseils que vous jugerez bien. Je pense que nous nous entendrons en ce qui est de l’impression de l’ouvrage dont je pense pouvoir terminer le traduction vers le 15 Aout.
Dans l’impatiente attente de recevoir votre reponse, recevez monsieur l’asassurance de ma haute considération
Jean Fretet

Fretet, Jean