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Description archivistique
Fondo José Carlos Mariátegui Francia Edición Avec objets numériques
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Carta de César Vallejo, 10/12/1926

París, 10 de diciembre de 1926.
Mi querido compañero:
Agradezco a usted en lo que vale el bondadoso juicio que me envía publicado en Mundial, relativo a mi labor literaria. Varios pasajes de su cariñoso ensayo llevan tal voluntad de comprensión y logran interpretarme con tan penetrativa agilidad, que leyéndolos me he sentido como descubierto por la primera vez y como revelado en modo concluyente. Su ensayo, sobre todo, está lleno de buena voluntad y de talento. Le agradezco, querido compañero, por ambas cosas.
He recibido Amauta. Sigo con fraternal y fervorosa simpatía los trances y esfuerzos culturales de nuestra generación, a cuya cabeza está usted y están otros espíritus sinceros como el suyo. En estos días enviaré a usted con todo cariño algún trabajo para Amauta, cuyo éxito y acción renovatriz en América celebro de corazón, puesto que ella es, como usted me dice, “nuestro mensaje”. Creo que esta resonancia ha de crecer, contribuyendo así a densificar más y más la sana inspiración peruana de nuestra acción ante el continente y ante el mundo.
Próximamente le escribiré acerca del libro que me pide para la Editorial Minerva. Pueda ser que ese libro esté listo muy en breve.
Un afectuoso saludo para todos los buenos amigos de Amauta y para usted un estrecho abrazo de su devoto compañero.
César Vallejo

Vallejo, César

Carta de Jean Fretet, 9/1928

s. f.
Monsieur,
J’ai trouvé en Septembre [ . . . ] votre livre intitulé La escena contemporánea dans une grande librairie. Après lecture de cet ouvrage qui m’interessa fort, je le prétai a quelques amis. Partout votre ouvrage retint l’attention. La plupart de mes amis me consèillerent de le traduire en Français. Et c’est au sujet de cette traduction que je vous écrit.
Je crois que l’oeuvre interesserait vivement le public français. Vous plairait-il que votre livre soit traduit? ayer l’obbligeance de me repondre, monsieur, s’il vous plait. J’ai déja fait la traduction de la majeure partie du livre. J’attends votre réponse pour achever ou abandonner le travail. Etant etudiant je dispose de peu de temps. Néanmoins la clarté de votre style me permet de vous traduire très vite. Ma traduction est loin d’être mot a mot. J’ai horreur de ces genres de travaux. Il faut avant tout comprendre le texte, l’idée de l’auteur et après: transcrire en style français et en un style qui ne [ . . . ] pas la traduction pénible.
Je trouverai aisément quelque ami pour une introduction. D’ailleurs ces amis sont suffisament haut placés pourqu’un esprit hérudit: tel le vôtre en entend parler fréquement. Quand a vous je vous demanderai de vous vouloir bien donner la peine d’ecrire une courte préface a l’edition française; et de me communiquer tous les conseils que vous jugerez bien. Je pense que nous nous entendrons en ce qui est de l’impression de l’ouvrage dont je pense pouvoir terminer le traduction vers le 15 Aout.
Dans l’impatiente attente de recevoir votre reponse, recevez monsieur l’asassurance de ma haute considération
Jean Fretet

Fretet, Jean

Carta de Augustin Habaru, 16/11/1929

Paris, 16 de noviembre de 1929
Señor José Carlos Mariátegui
Lima (Pérou)
Mon Cher Camarade,
Je communique votre lettre du 10 Octobre à notre administration. Je vous remercie pour votre article sur Le Ciment que nous publierons prochainement.
Si vous en avez la possibilité, je serais heureux de votre participation à notre débat contradictoire sur La Crise du Socialisme, dont vous trouverez sous ce pli le premier article de De Man, Vandervelde, Karl Renner, Henriette Roland-Holst, des communistes, des socialistes nous ont envoyé des études importantes et ej serais heureux si votre article nous parvenait en temps utile. Pour le cas où ce ne serait pas possible, je ferais traduire un chapitre de votre Défense du Marxisme paru dans Amauta.
Saludations bien fraternelles
A. Habaru

Habaru, Augustin